Plan cul number three :
Allez hop, un doigt en entrée en matière ! La nana s’en
mordille la lèvre inférieure. C’est le genre de jolie blonde à gros cul qui
joue la pimbêche, style je te vois pas, mais qui mouille dès qu’elle sent une
érection mâle dans un rayon de trois kilomètres. Et qui devient incontrôlable
dès qu’une teub montre le bout de son gland. Un petit pelotage dans les règles
de l’art et elle devient plus chaude que le Vésuve au meilleur de sa pétarade.
Poussage dans les chiottes et prémisses du baisage, doigt donc puis broutage de
la teuch. Je me masturbe en même temps, préparant popaul au pilonnage HD.
Léchage du clito, langue dans le vagin puis doigt, la blonde pimbêche s’en est
allée dans les conduits d’évacuation. Et ça fait oh, et ça fait ah, et ça fait
ouh, putain ce que c’est bon et ça fait encore et ça fait hum et ça fait
youplaboum. Et ça brille des yeux. Et ça se tord de plaisir et de jubilation.
Et ça réclame ma queue à corps et à cri. Et ça se doigte. Et ça saisit ma bite
et ça la serre. Et ça l’avale goulument comme un Michoko géant. Puis,
naturellement, le calibre glisse dans le chaudron magique. À l’abordage ! Tous les coups sont
permis ! Pas de quartier ! On défonce, on défonce, on défonce ! La nana en
pleure ! Elle avait jamais vu le bonheur en face ! Mon dieu, mon dieu, mon dieu
! Elle en croit pas sa chatte ! J’arrête pas ! Je pilonne à l’aveugle ! J’nique
en vrac ! Je donne comme quatre ! The machine ! The mec plus ultra ! Pour
couvrir les hurlements de la donzelle, je tire la chasse ! Je ralentis ! Puis
je repars ! Comme en quarante ! À l’attaque ! Je deviens dix !
Passements de bite et enculade ! On reprend les mêmes et on recommence !
Branlette ! Pelles ! Encore devant ! Puis encore derrière ! Suçage ! Le Toucan
vert ! La brouette slave ! Le soleil qui se lève au printemps ! Le tac au tac !
Grattage et retirage ! La nana en voit de toutes les couleurs ! Elle vole ! Je
l’accompagne dans les airs ! On fait wou wou wou ! On fait olalala ! J’éjacule
sur le rouleau de PQ et lui fous le papier sur sa face.
Le temps que la nana s’en remette, je vais à l’aut’ gogue
faire caca. Quand j’en sors, l’autre a retrouvé son faux air de pimbêche. Je
demande : « Tu crois que je peux encore y aller ? ».
Secouant la tête, elle déchire mon ticket puis me le tend.
« À mon avis, c’est mort » me fait-elle. « Mais si tu veux pas
attendre la prochaine séance, tu peux toujours regarder le dernier quart
d’heure du film ».
Je lui pince un téton.
« Par hasard » je demande « T’aurais moyen de m’obtenir des
pop corn à l’œil ? »