2018/06/09

Le top 5 des plans culs d'un footballeur (2)


Plan cul number two :
Ce jour-là, je me sentais pas trop bien. J’avais le nez qui coulait et des flatulences limite liquides. La grippe A, je pense. Samantha avec qui je viens de niquer m’explique que je me fais des idées et que c’est pas ça les symptômes de la maladie.
« Qu’est-ce que tu en sais », je lui réponds « T’es médecin ? ».
Et je monte dans ma Porsche, direction la première plaque de toubib repérée. Je pile net au bout de 175 mètres. Près de la boulangerie, officie un docteur, Vanessa Reboul. Je me gare en double file et monte les escaliers quatre à quatre vers la salle d’attente. Et là, méga gaule ! Un canon de 30 printemps tout en cuir moulant patiente sur une chaise avec un hamster. Je la mate de haut –-bouche à pipe, décolleté sexy -  en bas – longues jambes fines à talons – puis jette un coup d’œil circulaire. Personne d’autre que nous dans la salle – rematage de la bonasse – elle me reluque, les yeux plein de vices et de feu. Ma méga gaule triple !
« L’est où votre animal ? » me demande t-elle en se caressant la chatte. Je dégaine la chose et lui caresse les nibards avec. Elle m’agrippe les fesses et bouffe mon bide puis mes poils pubiens. Une vraie petite salope en rut et en liberté ! Je vire le hamster, la lève, la défroque puis en saisissant ses jambes, lui fout la tête par terre
« broute la moquette » je dis tandis que je lui titille les lèvres avec le bout de ma queue. La bouche ouverte, elle pousse un gémissement.
« Elle est bonne ma queue, hein ! Sale petite vicieuse ! » Je grommèle.
« Oh oui ! ».
Et c’est parti pour le grand ramonage ! Profondément dedans, un peu sur les côtés, au sud, au nord, à l’est et à l’ouest. Une fois qu’elle est bien pantelante, j’attaque le manège croate puis le parallélogramme sicilien. Les orgasmes se succèdent comme les pièces dégringolantes d’un bandit manchot au moment du jackpot !
Cette fille est une putain de rêve ! Et elle en redemande ! Encore ! Encore ! Encore ! J’enchaîne dans l’inédit en commençant par le cornet de marrons chauds puis la planche à crier et enfin le pilon de Marseille ! Les ongles plantés dans ma chair, la nénette manque d’en claquer de bonheur, d’extase et de volupté. Je jute sur son hamster qui s’en tord à son tour de plaisir.
« Tu t’es bien rincé l’œil, spèce de petit enculé » je dis à la bête.
« C’est une fille » me fait la chaudasse revenue à elle « Elle s’appelle Heidi ».
Je réponds rien.
« Dis-moi » reprend-elle « Tu me dis quelque chose… Tu ferais pas du patinage artistique par hasard ? ».
Toujours sans répondre, je la regarde se resaper. L’envie de la culbuter à nouveau me rhasexe la bite.

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