2010/01/09

Tu vois ce que je veux dire 80




Au début le gag devait être un peu plus subtil : D'abord on me voyait passer l'aspirateur. J'aspirais la moquette du salon de Géraldine, puis l'aspirateur se déréglait , j'aspirais le tapis, puis une chaise, puis le buffet (Cf page 62), le lustre, la table, le lit, le mur du couloir, la porte d'entrée.. Et finalement j'étais ecrasé contre les bords de la case par le sac de l'aspirateur devenu énorme.
Malheureusement ce gag n'avait pas grand sens et j'ai préferé faire cette planche bien plus sobre. 

2010/01/07

Tu vois ce que je veux dire 78




Allez, Charlie et Bébert, c'est bon... Quittez vos coins... Vos trouvailles n'étaient pas si mauvaises que ça.

2010/01/02

Tu vois ce que je veux dire 75




Ils liraient cette planche, Darwin et Einstein se mettraient d'eux-mêmes le bonnet d'âne et iraient au piquet.

2009/12/30

Tu vois ce que je veux dire 72




Chaque instant que je vis est si intense que si quelqu'un d'autre prenait ma place pendant ce laps de temps il n'aurait pas assez d'une existence.

2009/12/27

2009/12/26

Tu vois ce que je veux dire 68




A l'origine de cette planche le gag était un peu différent:
J'étais perdu chez l'infirmière. Je parcours plusieurs pièces en tournant en rond. Finalement je vois un plan avec un indicateur "vous êtes ici". J'appuis sur un bouton pour voir l'itinéraire pour rejoindre la chambre à coucher de Géraldine.
Quand j'appuie sur le bouton, le plan me tombe sur la gueule et m'écrase dans un flot de sang.
J'avais mis trop de sang sur la dernière case, et l'harmonie des couleurs de toute la planche en a été rompue. J'ai préféré me débarrasser de cette planche qui faisait insulte à mon génie de la composition.

2009/12/25

Tu vois ce que je veux dire 67




Initialement cette planche était un peu moins bonne : On me voyait à coté d'une cloture barbelée. De l'autre coté Géraldine réclamant mon amour. Bravement j'allais la chercher de l'autre coté de la cloture. Mais en traversant je faisais tomber son chapeau.
Une fois de l'autre coté Géraldine me réclame son chapeau. Je retraverse, et lui ramène le truc. Puis elle me montre son caniche de l'autre coté, je traverse mais ne trouve pas son caniche. Géraldine pique alors une crise me traitant d'incapable. Je retourne de son coté et la balourde dans les fils barbelées, où elle se fait déchiqueter.
A ce moment le caniche arrive et lèche le sang de sa maîtresse.
Le problème était que mon caniche ressemblait trop à un Beagle. J'ai préféré jeter la planche que de me faire insulter par tout les amoureux des animaux.