Au début le gag devait être un peu plus subtil : D'abord on me voyait passer l'aspirateur. J'aspirais la moquette du salon de Géraldine, puis l'aspirateur se déréglait , j'aspirais le tapis, puis une chaise, puis le buffet (Cf page 62), le lustre, la table, le lit, le mur du couloir, la porte d'entrée.. Et finalement j'étais ecrasé contre les bords de la case par le sac de l'aspirateur devenu énorme.
Malheureusement ce gag n'avait pas grand sens et j'ai préferé faire cette planche bien plus sobre.
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