2021/11/30

Le top un des coups de boule dans le foot (Oh non encore du foot !)

 

Ouais, ouais, vous le voyez venir gros comme une maison, ce coup de boule ne peut être que le number one. L’a tout pour ça. Finale de coupe du monde, l’année 2006 le deuxième chiffre du démon, les protagonistes : un sombre défenseur même pas connu par son propre sélectionneur (c’est un ami d’un ami d’un ami qui lui a conseillé de le prendre), le meilleur joueur du tournoi Zidane himself, le pétage de câble totalement hallucinant et le geste en lui-même complétement hallucinant (franchement un coup de boule dans le sternum !). Eh bin non, z’avez que les bads numéros (vous gagnez même pas de quoi rejouer et reperdre !). Non. Abominable ce tampon foireux. À jeter direct aux gogues publics avec les centre spatiaux de Sagna. Non, s’il y a un coup de casque qui doit figurer sur la première marche du podium c’est bien celui de mon demi-frère Pascal contre un défenseur de l’équipe de la Frette. Nul ne sait encore pourquoi il a agi comme ça. Peut-être que l’autre le collait trop et que sa tête lui revenait pas. Bref, mon demi-frère qu’a le sang chaud, lui a fait sa fête. Contrairement à la chiquenaude du mondial, tout le monde a vu le coup. Et surtout l’a entendu. Une déflagration dont l’écho s’est répercuté sur plusieurs kilomètres. Des spectateurs se sont jetés au sol et une brigade anti-terroriste a rappliqué. Mais c’est pas tout. Esthétiquement parlant, le coup était parfait. Si des juges avaient été présents tous auraient mis dix sur dix. Même ceux de l’Est. Supplément chantilly sur la crêpe, le choc a été si violent que la victime a valdingué du point de pénalty jusqu’à l’intérieur de ses cages, déflorant la lucarne comme un godemiche à réaction. Autrement dit, si mon demi-frère s’était occupé de Materazzi à la place de Zidane, le gars ne se serait pas relevé. Et le reste de l’équipe italienne aurait fait dans son short. J’vous laisse imaginer la suite…

Ouais, ouais, vous le voyez venir gros comme une maison, ce coup de boule ne peut être que le number one. L’a tout pour ça. Finale de coupe du monde, l’année 2006 le deuxième chiffre du démon, les protagonistes : un sombre défenseur même pas connu par son propre sélectionneur (c’est un ami d’un ami d’un ami qui lui a conseillé de le prendre), le meilleur joueur du tournoi Zidane himself, le pétage de câble totalement hallucinant et le geste en lui-même complétement hallucinant (franchement un coup de boule dans le sternum !). Eh bin non, z’avez que les bads numéros (vous gagnez même pas de quoi rejouer et reperdre !). Non. Abominable ce tampon foireux. À jeter direct aux gogues publics avec les centre spatiaux de Sagna. Non, s’il y a un coup de casque qui doit figurer sur la première marche du podium c’est bien celui de mon demi-frère Pascal contre un défenseur de l’équipe de la Frette. Nul ne sait encore pourquoi il a agi comme ça. Peut-être que l’autre le collait trop et que sa tête lui revenait pas. Bref, mon demi-frère qu’a le sang chaud, lui a fait sa fête. Contrairement à la chiquenaude du mondial, tout le monde a vu le coup. Et surtout l’a entendu. Une déflagration dont l’écho s’est répercuté sur plusieurs kilomètres. Des spectateurs se sont jetés au sol et une brigade anti-terroriste a rappliqué. Mais c’est pas tout. Esthétiquement parlant, le coup était parfait. Si des juges avaient été présents tous auraient mis dix sur dix. Même ceux de l’Est. Supplément chantilly sur la crêpe, le choc a été si violent que la victime a valdingué du point de pénalty jusqu’à l’intérieur de ses cages, déflorant la lucarne comme un godemiche à réaction. Autrement dit, si mon demi-frère s’était occupé de Materazzi à la place de Zidane, le gars ne se serait pas relevé. Et le reste de l’équipe italienne aurait fait dans son short. J’vous laisse imaginer la suite…

Aucun commentaire: