Depuis mes seize ans je n’ai
pas vraiment changé - Leonardo Di Caprio
À partir de quel moment
Leonardo Di Caprio a commencé à devenir sexy ? Je n’ai pas toute sa
filmographie en tête mais il apparait sans conteste qu’il a gagné en virilité à
partir du moment où il s’est épaissi physiquement. Encore une fois, pardonnez
mon inculture concernant le septième art, je ne suis pas cinéphile. Comme un
peu tout le monde, je vais dans une salle obscure quand je suis en manque de
popcorn. Et puis, je crois, il faut disposer de beaucoup de temps libre. Or, je
ne veux pas faire la femme surbookée, je n’en ai pas, trop de soirées, trop de
projets à mener simultanément. Ici, je tiens à faire une remarque : je
classe les acteurs sexy en deux catégories : ceux qui l’ont été dès leur
premier film et ceux qui le sont devenus après plusieurs.
Je range par exemple Brad
Pitt dans la première catégorie (avec qui j’ai baisé entre guillemets mais
c’est une autre histoire). Dans sa courte apparition dans Thelma et Louise, il
crève l’écran. Tout de suite, on mesure son extraordinaire potentiel. Sa
manière d’être nous subjugue. On est happé par son regard plein de malice et
son sourire de séducteur. Et je ne m’étendrais pas sur sa plastique
merveilleuse.
C’est tout le contraire de
Leonardo Di Caprio qui dans Titanic ressemble à un collégien mal dans sa peau
et boutonneux. Il était donc plutôt mal parti pour devenir un sex symbol auprès
des nanas ayant dépassé le stade de la préadolescence. Et pourtant le miracle
s’est accompli. Au fil des tournages, Leonardo a pris de l’assurance et du poil
de la bête. Cela date sans aucun doute de sa collaboration avec Martin
Scorsese. Je veux parler surtout de Gangs of New York où sa présence aux côtés
de Daniel Day Lewis le sublime un peu comme des couleurs complémentaires. Mais
peut-être n’est-ce pas à cause de cette transformation superbe. En tout cas,
dans ce film, Leonardo est passé de chenille grotesque à papillon éblouissant
et venimeux. Non, lion féroce direct ! GRRRR !
À partir de ce moment, il ne
cessera de m’impressionner tant physiquement que par son charisme exponentiel.
Si bien que comparativement, Brad Pitt a l’air d’un nabot châtré à voix de
crécelle. Ce que je veux dire par là c’est que devenir sexy est supérieur au
fait de toujours l’être. Vous pigez ?
Mais je parle, je parle et
je ne me suis pas présentée. Ou plutôt décrite. Car pour des raisons que vous
comprendrez aisément je préfère garder l’anonymat (par souci de simplification,
appelez-moi Stacy). Je suis une belle blonde, grande, fine et dotée d’une
opulente poitrine cent pour cent naturelle. Bref, je suis très souvent
courtisée. Autant dire que pour m’avoir, il faut se lever de bonne heure. Je ne
suis pas du genre facile.
Être beau, plein
d’assurance, riche et célèbre ne suffit pas pour me séduire. J’en ai envoyé
baladé plus d’un de ce style qui croyait que était l’affaire dans le sac. Et j’en
connais beaucoup parmi la gente féminine qui se serait coupé un bras pour en
sucer quelques-uns dans un coin discret. Moi non. Je ne mange pas de ce
pain-là. Et ce n’est pas parce que je trouve un mec sexy que je vais lui ouvrir
mes cuisses au premier regard complice. Clairement, il me faut plus que ça.
Tout connu qu’il est, le gars doit mouiller sa chemise pour m’avoir. Je ne suis
pas la bimbo basique et en général, dans le milieu, les hommes le savent. Tout
comme ils savent que je suis un super coup. Peut-être même pour certains le
coup de leur life.
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