Comme je n’avais rien
d’autre à foutre mais vraiment rien d’autre, j’ai maté les deux premiers
épisodes de la saison 8 de Game of thrones. Première impression : c’est
mou du gland (ou du bourgeon). Le temps que tous les personnages se retrouvent
et se disent ce qu’ils ont à se dire, je me suis tapé trois roupillons et ai
atteint à trois reprises le stade 5 du sommeil (je crois que je n’avais pas connu
un tel enchaînement réparateur depuis la vision accidentelle d’un épisode de
Joséphine ange gardien).
Bref, une installation bien longuette, des persos
bien trop sympathiques et ennuyeux, genre pause à la caféte au siège de la SG
un vendredi aprèm. Ah ouais, c’est toi qui m’a balancé de la tour, ‘spèce de
bâtard. Mais j’ai changé et toi aussi. Y’a possibilité d’amour. Et toi, petite raclure,
tu m’as laissé crever et tu m’as détroussé. Mais bah, il y a des choses plus
graves que ça dans la vie, comme avoir une hygiène bucco-dentaire irréprochable
par exemple, waf, waf.
J’avais l’impression de
regarder friend’s, une série que je déteste, sans les blagues nazes et les
rires enregistrés (le plus), mais avec les costumes moyenâgeux et la
surabondance de persos (le moins).
Seule scène à garder dans ces
deux heures lénifiantes, celle où la blonde et John Snow sillonnent les cieux
sur des dragons, mais qui laisse quand même un peu sur la faim.
Ç’aurait été une chouette idée que John Snow se pète la gueule et crève à ce moment-là. Vraiment surprenant. D’autant qu’au point où en étaient les scénaristes, ils auraient pu le faire revivre pour l’épisode prochain. Genre en allié du roi des morts.
Ç’aurait été une chouette idée que John Snow se pète la gueule et crève à ce moment-là. Vraiment surprenant. D’autant qu’au point où en étaient les scénaristes, ils auraient pu le faire revivre pour l’épisode prochain. Genre en allié du roi des morts.
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