Tu vois ce que je veux dire 66

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Le début de l'histoire

A noter qu'à l'origine, la planche se présente comme cela : D'abord Géraldine m'appelle du grenier. Je me dirige pour la rejoindre (et lui re-refaire l'amour). En chemin je vois un serpent.

Je massacre le serpent à coup de pompes, puis je danse "Tarzan Boy" de joie après cet exploit. En dansant je bute sur une flûte par terre.

Et là, j'entends Géraldine qui m'appelle de nouveau d'en haut. Je lève la tête et vois l'ouverture du grenier au-dessus du cadavre du serpent... Sans aucun moyen de l'atteindre.

Je jette la flûte de dépit.

Il me semble que j'exprimais beaucoup trop d'émotions dans cette planche originale. J'ai préféré publier la version épurée que vous admirez en ce moment.

Tu vois ce que je veux dire 65

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Le début de l'histoire

A la base cette planche se poursuit. On voit des flics entrer chez Géraldine, appelés pour tapage nocturne. Vaguement stone, je leur tire dessus au pistolet à eau. Les flics se marrent. Je tire encore. Ils se marrent encore en plus.

Finalement ils m'embarquent. Au poste dans ma cellule, ils me filent un pistolet à eau et m'obligent à les arroser pour les faire marrer.

J'ai dû, bien évidement, m'auto-censurer sur cette suite : Comme on le voit, j'y suis particulièrement critique et acerbe vis à vis de la maréchaussée, et j'avoue avoir craint des représailles.

Tu vois ce que je veux dire 64

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Le début de l'histoire

La planche que j'avais dessiné à la base pour cette page, était un chouia différente. On me voyait complètement stone me cogner contre les meubles de chez l'infirmière. Plusieurs fois de suite, surtout contre le buffet (Cf. page 62). 

A la fin, plein de bosses et de bleus je rejoins Géraldine au lit, qui prend peur en me voyant complètement déformé. Elle me balance du gaz lacrymo en appelant la police. 

Problème graphique: J'ai dessiné le téléphone portable de façon disproportionnée par rapport à la main de l'infirmière. J'ai dû déchirer la planche.

Tu vois ce que je veux dire 63

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Le début de l'histoire

A l'origine de cette planche, on devait d'abord voir Géraldine. Puis moi à coté de Géraldine. Puis en arrière plan, une dizaine de Géraldine de plus, et moi perturbé.

Sentant l'embrouille je fous un coup de tatane dans une Géraldine, qui explose en bouts de verre, révélant que nous étions au milieu de miroir. Je détruis ainsi plusieurs miroirs à coup de tatanes, avant de foutre un coup de tatane dans la vraie géraldine, lui explosant la gueule dans une gerbe de sang.

La planche fut réalisée, mais les gerbes de sang n'étaient pas assez bien dessinées à mon goût, et j'ai brûlé l'oeuvre comme un prince.

Tu vois ce que je veux dire 62

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Le début de l'histoire

Initialement cette planche se présentait autrement, et correspondait plus à la réalité de l'événement : Sur un bad trip je pris le buffet renaissance de Géraldine pour un chevalier du moyen âge prêt à nous embrocher de sa lance.

J'ai proposé à Géraldine de monter sur mon dos pour buter le mec. Elle monte, je fonce sur le buffet.
Et là, en courant, je passe à coté d'une table, que je prends pour un cheval. 

Me disant qu'un cheval fera une superbe monture je pile net. Déséquilibrée Géraldine valse vers le buffet, où elle s'encastre lamentablement.

Au fond la version que vous avez sous les yeux est bien plus drôle, quoiqu'ait pu me dire Stéphane Guillon en comparant les deux.

Tu vois ce que je veux dire 61

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Le début de l'histoire

Sur cette planche je voulais initialement faire un gag transcendant : Le fumeur se retrouve dans un appartement. De fines volutes de fumée de shit sortent à la fois de 3 pièces voisines, du plafond, du sol des fenêtres. Le fumeur cherche partout ou est le joint d'origine de cette merveille. Il ne trouve rien. Finalement il s'adresse à un mec dans une burqa et lui demande ou il peut trouver le mec qui a du shit pour le taxer. Et là, le mec à la burqa sort 8 bras et indique toutes les directions à la fois.

Cela aurait été superbe, malheureusement, je ne sais pas dessiner les burqas et la contrainte graphique vous fait perdre un des meilleurs gags de l'histoire de la bande dessinée.

Tu vois ce que je veux dire 60

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Le début de l'histoire

Sans conteste le blog bédé le plus long de l'histoire millénaire des blogs bédés. Rien que pour ça, c'est une merveille.

Tu vois ce que je veux dire 59

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Le début de l'histoire

Ah ah! Ils ont encore tenté de m'empêcher de dévoiler leur complot! Salauds d'infirmiers vous ne m'aurez jamais Mhuahahahahahahah kof kof.

Tu vois ce que je veux dire 58

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Le début de l'histoire

L´histoire de ma vie est en contradiction complète avec le second principe de la thermodynamique comme on le voit sur ce blog. Pourtant j´en fais pas tout un putain de plat!

Tu vois ce que je veux dire 57

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Le début de l'histoire

Quand j´eu fini cette BD, je me suis fait un bon repas, j´ai roté, une fleur est née sur une montagne, le ciel s´est éclairci, et j´ose le dire, Dieu a dit merci.

Tu vois ce que je veux dire 56

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Le début de l'histoire


Comme disait Jules Caesar aux Ides de Mars: " La vie est ainsi faite que ce n´est pas toujours la fête". Et ouais, ce mec n´avait pas accès au plaisir de lire ma BD.

Tu vois ce que je veux dire 55

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Le début de l'histoire

Je vous laisse un mois pour digérer et apprécier toutes la subtilité de ces 56 planches merveilleuses (à vous de trouver la planche-bonus cachée sur ce blog)

Les 60 strips de la suite de mon aventure seront publiées début Septembre. Si des aliens ne m'ont pas enlevé d'ici là, pour faire de moi leur DIEU de l'humour et des petits dessins rigolos.

Tu vois ce que je veux dire 54

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Le début de l'histoire

Certaines planches de cette bédé, c'est en me grattant les baloches d'une main que je les ai faites. Et pourtant impossible de voir la différence d'avec les autres... Sauf que ce sont celles là que les femmes préfèrent.

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Le début de l'histoire

True fact : Après avoir lu cette bédé le mahathma Ghandi s'est mis à battre sa femme, ses enfants et ses voisins tellement il avait la pêche.

Tu vois ce que je veux dire 52

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Le début de l'histoire

En matant cette planche le Soleil s'est éteint.