Dehors, l’air était doux. L’endroit où nous nous étions arrêtés offrait une vue incroyable sur la cité des anges. Comme si la semence de Leonardo nous avait guidés jusqu’ici, devant cette concentration de lumières hallucinantes.
Sur un banc, un clodo pionçait. Leonardo n’y fit même pas attention et m’invita à le rejoindre près d’un pin, dans le noir. Il me colla contre le tronc, saisit ma main et l’inséra dans son slop. L’enfoiré bandait encore et, j’avais l’impression, plus dur qu’avant son éjac abondante. Je lui serrai le manche. Il arracha mon string tout en suçant ma langue.
- Écarte les cuisses, petite salope.
Et tandis que je m’exécutai, il me souleva comme une plume et s’empala en moi. Je gémis. Sa queue était si dure et si conquérante ! J’avais l’impression de vivre un rêve éveillé ! Quel bonheur ! Était-il possible que le fait d’avoir frôlé l’amputation des couilles ait fourni à Leonardo un regain de vigueur ? Sa branlette de survie l’avait-il ragaillardi ? À moins tout simplement que la coke soit à l’origine de ce barreau splendide ? Qu’importe ! Je jouissais grave ! Sa bite dans ma chatte, ses mains sur mes fesses, ses coups de reins séismiques et ses grognements de primate, j’adorais tout et l’accueillais avec avidité, m’ouvrant le plus possible !
Puis, soudain, j’aperçus la silhouette du clodo dressée sur le banc. Nous voyait-il ? Avions-nous fait trop de bruit ?
L’espace de trois tringlages, je me sentis un peu honteuse. Cependant, comme l’homme ne bougeait pas, je m’agrippai à Leonardo. En fait, ma première émotion m’avait trompée. Savoir que ce type nous matait décuplait mon panard !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire