Mister COK, une BD au dessin crade et à l'humour bidon, le genre de BD que j'adore produire.
2019/05/13
2. L’incident bénéfique (2/6)
Des gens commençaient à rentrer dans le
restaurant et il ne pouvait s’empêcher de lever des yeux craintifs sur eux.
Pour ne pas perdre son calme, il tâcha de se concentrer sur son entrée en
matière : « Dès que tu la vois, tu te lèves et tu lui tends le
casse-tête… ».
Il avait choisi cet objet parce qu’il les
avait vues en rêve deux jours auparavant.
En effet, depuis qu’il avait eu cet accident stupide
de photocopieuse, Alban n’avait plus du tout la même perception du réel. Des
visions venaient le perturber pendant son sommeil. Des visions dont il était
convaincu qu’elles étaient prémonitoires.
Bernard le Canard 2/9 de Rico
Cette
bande dessinée n'est pas de moi, elle est de mon pote Rico et c'est un
monument d'absurdité. Normalement ce blog ne sert qu'à exposer mes
œuvres mais cette série est dotée d'un humour si particulier (pour ne
pas dire unique) que je n'ai pas pu résister à l'envie, avec
l'autorisation de Rico, de la mettre en ligne. Merci mon pote !
Bernard le canard nous donne des véritables leçons de vie
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2019/05/12
Bernard le Canard (1/9) de Rico
Cette bande dessinée n'est pas de moi, elle est de mon pote Rico et c'est un monument d'absurdité. Normalement ce blog ne sert qu'à exposer mes œuvres mais cette série est dotée d'un humour si particulier (pour ne pas dire unique) que je n'ai pas pu résister à l'envie, avec l'autorisation de Rico, de la mettre en ligne. Merci mon pote !
Bernard le canard nous donne des véritables leçons de vie
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2019/05/10
1. Attente (1/6)
Comme Alban craignait qu’elle arrive la
première, il était venu en avance au restaurant. Le serveur l’installa à une table,
près du bar. Posant son casse-tête emballé dans du papier cadeau à côté de son
assiette, Alban soupira.
Ouf, Valentine n’était pas encore présente.
Il s’en serait voulu si ça avait été le cas. Faire attendre une femme était
inexcusable.
Le serveur lui proposa quelque chose à boire
mais Alban déclina. C’était un homme d’une quarantaine d’année au teint si pâle
qu’on pensait souvent qu’il était malade. Il travaillait au service
informatique d’une grande agence de publicité et gagnait relativement bien sa
vie. Assez pour être propriétaire d’un appartement et faire des voyages.
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