Immense joueur de
football dans les années 2000, Swann est également un immense baiseur. Dès
l’âge de cinq ans, il sortait avec toutes les filles de sa classe ainsi que sa
maîtresse et la directrice de la maternelle. À côté de lui, James Bond ressemble à un
moine vasectomié.
C’est l’une de ses
innombrables conquêtes qui le dit : « Au
lit, Swann est si fougueux et si puissant que si je ferme les yeux, j’ai
l’impression, excusez-moi l’expression, de me faire gangbanguer ». Phénomène
sexuel, il a aussi été sollicité à
plusieurs reprises par des producteurs de porno pour jouer dans des films. L’homme
a toujours refusé avançant qu’il était avant tout un footballeur professionnel.
Pourtant, lorsqu’on lui parle de ces sollicitations, son visage se crispe comme
assailli par les regrets. Car si en tant que footballeur, Swann faisait partie
des tops players, en tant qu’acteur, il aurait pu devenir le Maradona du porno.
Aujourd’hui retiré
des terrains, et après bien des tractations, il a accepté de nous livrer en exclusivité
ses cinq plus beaux plans cul. À
lire à la mi-temps sans modération !
Plan cul number one :
J’étais en train de tâter du ballon quand un pote m’appelle.
Je sors mon portable de mon short et décroche.
« Eh Swann », me fait-il, « devine avec quoi je
t’appelle ».
« Je sais pas » je réponds « J’hésite entre
ta couille gauche et celle de droite ».
« Ah ! ah ! ah ! t’es trop con, Swann.
Non, c’est avec mon nouvel Iphone, ça te dirait de le voir ».
À vrai dire, je m’en branle mais j’en ai
marre de tâter du ballon et j’ai baisé il y a une heure donc je ne ressens pas
encore trop de manque, donc je me dis, bah pourquoi pas, allons voir sa merde,
ça va flatter son ego et le rendre heureux et moi, bin, j’aime bien rendre les
potes heureux, si l’amitié ne sert pas à ça alors on peut direct la balancer
dans le vide-ordures. « Ok » je fais en montant dans ma BM.
Arrivé chez mon pote, j’attrape une gaule de malade. Le type
vit avec une méga bombe blonde avec des seins comme ass’ et un cul de
collection. Dès que nos regards se croisent nous sommes sur la même longueur
d’ondes. Je sens qu’elle boufferait de la queue à longueur de journée si elle
en avait les moyens. Ma gaule décuple et elle le remarque, s’humectant avec la
langue l’oreille.
Je rappelle que cette histoire se passait en hiver. La
gastro se déchaînait, frappant les petits et les grands sans vergogne, décimant
les trous de balle les plus robustes et les plus aguerris.
À cet instant, mon pote ne le savait pas
encore mais miss Gastro l’avait choisi pour un tango défécatoire. S’apprêtant à
me montrer fièrement son bidule, il pose soudainement la main sur son ventre et
file aux chiottes, gueule en vrac, corps en deux. Des occases comme ça, je
pense, on n’en a pas trente-six dans la vie. Direct, je sors ma queue et la
plante dans la bouche de la donzelle qui la suce avidement. Pur régal ! Je
sors le braque et demande : « Tu t’appelles
comment ? ».
« Cindy » elle fait en donnant des coups de langue
dans le vide.
« Cindy, mets toi à quatre pattes, j’vais te défoncer
les orifices comme ils le méritent ».
« Oh toi » fait-elle en me mordillant les couilles
à travers le short.
Là, bruit de chasse tirée. Cindy recouvre ses magnifiques
mamelles sous son tee-shirt moulant et moi je range mon attirail.
Lorsque mon pote revient, tout blanc, j’explique à Cindy mon
égalisation à la finale de coupe d’Europe 2000. À l’expression de son visage, je vois
qu’elle n’y entrave que dalle. Et pour cause ! Elle veut du dur en elle et
moi je veux lui gicler dessus et partout comme un intarissable malpropre !
Encore une fois, le pote tente de me montrer sa connerie mais miss Gastro
l’alpague au colon ! Retour à la case chiottes !
Et vlan ! Je trombine la nana sur une chaise ! Et
boum ! Sur la table ! Et bing ! Par terre ! Dans le cul et
dans la teuch ! Dans la bouche et dans l’oreille ! Elle me griffe, je
la baise ! Elle en redemande, je la mitraille à la douze-sept ! Je
vocifère, elle hurle ! Deux bêtes en rut qui s’entrechoquent en se mordant
et se pinçant les chairs ! S’pèce d’enculé ! Petite pute !
Connard ! Salope ! Crabe farci ! Sauce béchamel ! J’explose
dans sa bouche. Elle avale goulûment puis se caresse le visage avec mon gland
puis avec le reste de mon outil perforateur. Ouch. Soubresaut de bandaison
fière.
Parait-il mon pote est revenu un quart d’heure plus tard
mais j’étais parti. Depuis, je nique Cindy de temps à autre chez moi, dehors ou
à l’hôtel, mais même si entre nous deux le panard est vraiment de haut niveau,
il n’atteindra plus jamais le top de ce jour d’hiver.
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