ZOUBARLAND

Avant toute chose, ce journal d'Hitler qui fait 20 pages entre dans un projet que j'appelle la BD instinctive. Au départ, j'ai pris un thème qui me tient à cœur : le football.

Le début de cette Bande dessinée commence par les états d'âmes d'un gardien de but qui n'arrête pas d'en prendre (des buts). Elle a dérivé vers ce journal d'Hitler très particulier (puisque le thème est le football) dont le récit débouchera sur une autre BD à la fin qui débouchera à son tour sur autre BD et ainsi de suite.

Le but de ce projet est de ne pas obéir à une logique scénaristique, de ne pas rechercher l'unité. Mon imagination et ma spontanéité me dictent cette œuvre. Et je fais en sorte de ne me retenir en rien, ni d'adopter un ton particulier - si le début de cette BD était plutôt humoristique, le chapitre qui suit est plutôt noir, très noir.