2019/02/07
2018/10/01
La gueule de l'emploi (Extrait 2 : Conseils à une amatrice qui veut percer dans le porno
Souvent,
beaucoup de jeunes femmes viennent me voir et me posent la même question :
Faut-il avoir une tête de pute pour percer dans le porno ? Souvent, je
réponds par une autre question à celle-ci : Ai-je une tête de pute ?
Ce qui déstabilise généralement mes interlocutrices et les plonge dans
l’embarras. Afin de dissiper leur gêne, je précise que je ne suis pas
susceptible et que je ne prendrai pas mal qu’elles me le disent. Au contraire.
Dans ce monde de chacals putrides, l’honnêteté est un diamant qui brille. Et
avoir une tête de pute est sublime. Rassurées par ma déclaration, elles me donnent
alors leur avis et à quatre-vingt-dix-neuf virgule quatre-vingt dix neuf pour
cent il s’avère négatif. « Alors ? vous voyez bien que c’est une
idée préconçue » leur fais-je avec l’air supérieur de celle qui répand la
lumière dans leurs cerveaux embrumés.
2018/09/29
2018/09/23
2018/09/22
être une bonne actrice porno (extrait de conseils à une amatrice qui veut percer dans le porno de Monica Stanfield)
Le
problème des actrices de porno c’est qu’elles font actrices de porno. Elles ont
beau être déguisées en femme au foyer, en nonne ou en infirmière on voit tout
de suite l’imposture et forcément on en ressent moins d’excitation. Savoir dès
le départ que la nana qui va offrir sa bouche, son trou rasé et sa rondelle est
une salope professionnelle gâche au trois quart le plaisir du branleur
solitaire (des études très sérieuses et poussées en témoignent (pour ne pas
dire scientifiques)). La nana joue la vierge innocente mais sur sa gueule est
marquée en gros : actrice de porno et c’est bien là que le bas blesse. On
n’y croit pas une seule seconde à son dégoût troublé devant le braque
phénoménal du livreur de pizza. On voit bien que sa bouche en a déjà avalé
plein de bites et des autrement plus balèzes ! Le double hot-dog elle
connait. Et elle le pratique quotidiennement à n’importe quelle heure de la
journée ! Limite, je serais à la place du client j’aurais le sentiment
d’être pris pour un con.
Comprenant
le malaise, certaines actrices se sont spécialisées dans les vidéos courtes et
primaires. Plus de scénar, plus de dialogue, plus de perso, la scène de nique
direct ! Une pipe, une levrette chatte et cul, une éjac faciale et on n’en parle plus !
Perso,
je suis admirative de leur choix, mais, désolée pour elles, en faisant
uniquement ça, elles n’exercent plus la profession d’actrices de porno. J’ai
d’ailleurs imaginé une autre manière de les appeler, plus adéquate : Les
pornoputes (Suite à cette appellation beaucoup de ces professionnelles m’en ont
voulu, mais je sais qu’avec le temps, elles reconnaitront la justesse du
terme).
Et
puis il y a celles qui, hélas, bâclent le taff. Elles sont majoritaires et
contribuent à la médiocrité de notre art difficile (je sais que beaucoup espèrent
que je cite des noms mais je ne m’abaisserai pas à cette exécution indigne et
basse). Qu’elles jouent une étudiante, une pom-pom girl ou un médecin, elles
sont et restent nullissimes. De leur personne n’émane aucune émotion, aucun
charisme. Elles se contentent de porter un déguisement, de tortiller du cul et
d’exécuter des mouvements de lèvres suggestifs. Des potiches qui attendent leur
coup de bite. Forcément, lorsque l’acte se produit, il est moins beau et moins
fort. Ce ne sont pas la prisonnière et le maton qui niquent mais deux acteurs pornos
très mauvais (cependant si l’homme a le droit d’être mauvais, la femme non. Car
la crédibilité de la scène repose en priorité sur son jeu). Mais ce n’est pas
tout. Même lors du coït, la mauvaise actrice peut tout foutre en l’air. Des
« Oh oui » qui sonnent faux, des cris de jouissance qui ressemblent à
des grincements de porte et au final, du cul à chier. Qu’on me comprenne bien.
Je ne leurs jette pas la pierre. Je sais que les aptitudes de ces pauvres
filles sont limitées. Seulement, cela les dispensent-elles de faire un
effort ? Je veux parler de leur investissement personnel. On dirait que
ces nanas arrivent sur les plateaux sans énergie et volonté. Des enveloppes
vides et soumises se comportant comme des automates. Un blender dégage cent
fois plus de chaleur (à quand un porno avec des blenders ?... Bien sûr, je
rigole). On leur dit : « Tu vas faire une infirmière. »
Elles disent : « OK » On leur dit : « Tu vas
faire une autostoppeuse. » Elles disent : « OK » Mais
dans leur tête, sous prétexte qu’on tourne une scène de boules, elles ne
cherchent même pas à se mettre dans la peau de leur personnage. En se
contentant du minimum, ces « actrices » se dévalorisent et
dévalorisent par conséquent le porno.
Moi,
quand je joue une infirmière, j’y vais à fond. Je contacte de vraies
infirmières et les observe pendant une demi-journée à l’hôpital. Une
autostoppeuse, no problem, j’expérimente la pratique entre Paris et Chartres.
Avant la baise, je pense comme une infirmière ou une autostoppeuse. Je suis une
infirmière ou une autostoppeuse ! J’habite le rôle à 200 % ! À un tel
point que parfois mes partenaires s’attendent plus à subir une piqure qu’à
jouir d’une fellation. « Monica » me disent-ils « à un moment,
j’ai vraiment cru à ton personnage. Un peu plus et je t’emmenais à Chartres
même si c’était pas sur mon trajet. »
Mais
vivre son rôle et s’en imprégner ne suffit pas. Il faut aussi user de son
imagination, être créative. Lorsque je passe à l’action je ne me contente pas
de crier comme une goyo et de m’exclamer : « Enfonce moi ton
gros dard dans le fion ! » Je couine, je siffle, je roucoule, je
chante. Je crée de nouvelles expressions : « Ta bite dans ma
chatte et dans mon cul ensembles » ; « Broute-moi la
devanture ! » ; « Astique-moi la grotte avec ton
stalactite » ; « Oh, ouah, ça c’est pas un gland c’est une pomme.
Que dis-je, un ananas ! » J’enrichis et renouvelle constamment les
dialogues. Et le consommateur en redemande (combien de lettres ai-je
reçues pour me féliciter de ces inventions verbales!).
Ainsi,
il est impératif que les actrices fassent preuve d’imagination et s’impliquent
plus dans leur rôle. Le porno est en crise à cause d’une production de plus en
plus médiocre. Continuer dans cette voie le mènera inévitablement à sa perte.
En mettant un peu plus de leurs personnes dans les scènes qu’elles jouent, les
actrices peuvent aider celui-ci à remonter la pente. C’est à mon avis le défi
qu’elles devraient se lancer si elles
veulent continuer à vivre décemment de leur art.
2018/09/21
2018/09/18
2018/09/17
2018/09/16
2018/09/08
2018/09/07
2018/09/05
2018/06/12
Le top 5 des plans culs d'un footballeur (3)
Plan cul number three :
Allez hop, un doigt en entrée en matière ! La nana s’en
mordille la lèvre inférieure. C’est le genre de jolie blonde à gros cul qui
joue la pimbêche, style je te vois pas, mais qui mouille dès qu’elle sent une
érection mâle dans un rayon de trois kilomètres. Et qui devient incontrôlable
dès qu’une teub montre le bout de son gland. Un petit pelotage dans les règles
de l’art et elle devient plus chaude que le Vésuve au meilleur de sa pétarade.
Poussage dans les chiottes et prémisses du baisage, doigt donc puis broutage de
la teuch. Je me masturbe en même temps, préparant popaul au pilonnage HD.
Léchage du clito, langue dans le vagin puis doigt, la blonde pimbêche s’en est
allée dans les conduits d’évacuation. Et ça fait oh, et ça fait ah, et ça fait
ouh, putain ce que c’est bon et ça fait encore et ça fait hum et ça fait
youplaboum. Et ça brille des yeux. Et ça se tord de plaisir et de jubilation.
Et ça réclame ma queue à corps et à cri. Et ça se doigte. Et ça saisit ma bite
et ça la serre. Et ça l’avale goulument comme un Michoko géant. Puis,
naturellement, le calibre glisse dans le chaudron magique. À l’abordage ! Tous les coups sont
permis ! Pas de quartier ! On défonce, on défonce, on défonce ! La nana en
pleure ! Elle avait jamais vu le bonheur en face ! Mon dieu, mon dieu, mon dieu
! Elle en croit pas sa chatte ! J’arrête pas ! Je pilonne à l’aveugle ! J’nique
en vrac ! Je donne comme quatre ! The machine ! The mec plus ultra ! Pour
couvrir les hurlements de la donzelle, je tire la chasse ! Je ralentis ! Puis
je repars ! Comme en quarante ! À l’attaque ! Je deviens dix !
Passements de bite et enculade ! On reprend les mêmes et on recommence !
Branlette ! Pelles ! Encore devant ! Puis encore derrière ! Suçage ! Le Toucan
vert ! La brouette slave ! Le soleil qui se lève au printemps ! Le tac au tac !
Grattage et retirage ! La nana en voit de toutes les couleurs ! Elle vole ! Je
l’accompagne dans les airs ! On fait wou wou wou ! On fait olalala ! J’éjacule
sur le rouleau de PQ et lui fous le papier sur sa face.
Le temps que la nana s’en remette, je vais à l’aut’ gogue
faire caca. Quand j’en sors, l’autre a retrouvé son faux air de pimbêche. Je
demande : « Tu crois que je peux encore y aller ? ».
Secouant la tête, elle déchire mon ticket puis me le tend.
« À mon avis, c’est mort » me fait-elle. « Mais si tu veux pas
attendre la prochaine séance, tu peux toujours regarder le dernier quart
d’heure du film ».
Je lui pince un téton.
« Par hasard » je demande « T’aurais moyen de m’obtenir des
pop corn à l’œil ? »
2018/06/10
2018/06/09
Le top 5 des plans culs d'un footballeur (2)
Plan cul number two :
Ce jour-là, je me sentais pas trop bien. J’avais le nez qui
coulait et des flatulences limite liquides. La grippe A, je pense. Samantha
avec qui je viens de niquer m’explique que je me fais des idées et que c’est
pas ça les symptômes de la maladie.
« Qu’est-ce que tu en sais », je lui réponds « T’es médecin
? ».
Et je monte dans ma Porsche, direction la première plaque de
toubib repérée. Je pile net au bout de 175 mètres. Près de la boulangerie,
officie un docteur, Vanessa Reboul. Je me gare en double file et monte les
escaliers quatre à quatre vers la salle d’attente. Et là, méga gaule ! Un canon
de 30 printemps tout en cuir moulant patiente sur une chaise avec un hamster.
Je la mate de haut –-bouche à pipe, décolleté sexy - en bas – longues jambes fines à talons – puis
jette un coup d’œil circulaire. Personne d’autre que nous dans la salle –
rematage de la bonasse – elle me reluque, les yeux plein de vices et de feu. Ma
méga gaule triple !
« L’est où votre animal ? » me demande t-elle en se
caressant la chatte. Je dégaine la chose et lui caresse les nibards avec. Elle
m’agrippe les fesses et bouffe mon bide puis mes poils pubiens. Une vraie
petite salope en rut et en liberté ! Je vire le hamster, la lève, la défroque
puis en saisissant ses jambes, lui fout la tête par terre
« broute la moquette » je dis tandis que je lui titille les
lèvres avec le bout de ma queue. La bouche ouverte, elle pousse un gémissement.
« Elle est bonne ma queue, hein ! Sale petite vicieuse ! »
Je grommèle.
« Oh oui ! ».
Et c’est parti pour le grand ramonage ! Profondément dedans,
un peu sur les côtés, au sud, au nord, à l’est et à l’ouest. Une fois qu’elle
est bien pantelante, j’attaque le manège croate puis le parallélogramme
sicilien. Les orgasmes se succèdent comme les pièces dégringolantes d’un bandit
manchot au moment du jackpot !
Cette fille est une putain de rêve ! Et elle en redemande !
Encore ! Encore ! Encore ! J’enchaîne dans l’inédit en commençant par le cornet
de marrons chauds puis la planche à crier et enfin le pilon de Marseille ! Les
ongles plantés dans ma chair, la nénette manque d’en claquer de bonheur,
d’extase et de volupté. Je jute sur son hamster qui s’en tord à son tour de
plaisir.
« Tu t’es bien rincé l’œil, spèce de petit enculé » je dis à
la bête.
« C’est une fille » me fait la chaudasse revenue à elle «
Elle s’appelle Heidi ».
Je réponds rien.
« Dis-moi » reprend-elle « Tu me dis quelque chose… Tu
ferais pas du patinage artistique par hasard ? ».
Toujours sans répondre, je la regarde se resaper. L’envie de
la culbuter à nouveau me rhasexe la bite.
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